Sobrecarga mental e queda de cabelo: a rotina antiqueda de cabelo da Julie

Quand mes cheveux ont tiré la sonnette d’alarme pour que je lève le pied

Julie est une jeune maman solo d’une petite fille d’aujourd’hui quatre ans. Souriante, sereine, bien dans ses bottes et dans ses cheveux, Julie (et ses longueurs) reviennent de loin. Littéralement, puisque la jeune femme est fraîchement réinstallée en France après avoir quitté l’Argentine et laissé derrière elle un stress important et beaucoup de cheveux ! Elle nous raconte comment une chute réactionnelle a été l’élément déclencheur pour comprendre qu’il fallait lever le pied. Julie nous partage également sa routine antichute, pour des cheveux en pleine santé.

Quelle est votre expérience de la chute de cheveux ?

J’étais plus ou moins déjà sujette à la chute de cheveux lors des changements de saisons, rien d’anormal mais assez pour que je me rende compte qu’il n’y a pas que les feuilles mortes qui se ramassent à la pelle ! Et puis après il y a eu ma grossesse en 2017 avec un épisode assez important, mais là encore, j’étais prévenue. En 2020 par contre, là j’ai été prise de court.

Que s’est-il passé et dans quel état d’esprit étiez-vous ?

L’alignement parfait des planètes de la catastrophe (rires). J’étais en Argentine, là où je vivais avec ma fille de trois ans à l’époque. Le covid et le confinement nous ont frappé de plein fouet, en même temps que le reste du monde. Mais en Argentine les restrictions étaient très strictes : absolument impossible de sortir de chez soi sauf pour faire des courses de première nécessité. Garder un enfant de trois ans enfermé toute la journée a de quoi vous rendre folle. Ajoutez à ça une surcharge de stress liée au télétravail, les rapports et les habitudes complètement bousculés... Ah ! J’avais aussi un déménagement transatlantique à préparer pour rentrer en France ! Bref ma charge mentale était à son top niveau.

Comment cela s’est-il traduit au niveau de vos cheveux et comment avez-vous réagi ?

Je me suis assez vite rendue compte que je les perdais beaucoup. Je me lave les cheveux tous les jours donc c’était facile à voir. Et puis je perdais visiblement en densité sur les longueurs. Au début j’ai voulu éviter le problème en les attachant, pour tenter de retrouver un peu de volume. Mais j’ai été rapidement rappelée à l’ordre par ma mère (et son coiffeur) qui m’a conseillée de prendre des compléments alimentaires adaptés à la chute de cheveux, ce que j’avais déjà fait par le passé. J’ai fait une cure de Vitalfan, et j’ai changé ma routine pour passer sur des shampoings antichute renforcé par une cure intensive de Triphasic. Le résultat a été assez rapide, en quelques semaines j’ai commencé à noter une vraie différence dans la qualité et la quantité de mes cheveux. Mais surtout j’ai fait plus attention à moi.

Qu’est-ce que cet épisode de chute réactionnelle vous a appris ?

Il faut que j’écoute davantage mes cheveux parce que c’est un marqueur important niveau santé physique et mentale. Ils ont joué le rôle de sonnette d’alarme pour moi. Je me savais stressée mais je n’avais pas encore eu le truc pour me faire réagir, lever le pied et prendre vraiment soin de moi. On a souvent tendance à minimiser, à se faire passer en second plan dans ces moments-là. M’arrêter pour prendre soin de ma chute de cheveux m’a permis de me regarder vraiment dans le miroir et d’arrêter de tout mettre sous le tapis et de prendre les problèmes à bras le corps. J’ai retrouvé beaucoup de confiance en moi au travers de cet épisode, je me suis prouvée que j’étais bien plus forte que je ne le pensais, et que mes cheveux aussi !