Des formules antipelliculaires qui agissent sur l’équilibre du microbiome
Dans les formules des soins antipelliculaires naturels, on doit donc retrouver une combinaison d’actifs antifongiques et apaisants.
Par exemple, les extraits de gingembre sauvage, totalement naturels, ont prouvé leur efficacité en tant qu’actif antifongique. Ils n’ont rien à envier à celle du zinc pyrithione. Ce dernier est le composé chimique traditionnellement utilisé comme agent antifongique et antibactérien, et conservateur, dans la grande majorité des soins antipelliculaires.
L’extrait de gingembre sauvage peut être associé aux vertus apaisantes d’un autre actif naturel, tel que le céleri, par exemple. En empêchant la production des agents déclenchant la réaction inflammatoire au contact des Malassezia, cet extrait naturel diminue les démangeaisons. Il contribue à freiner l’activité de desquamation. Et il renforce la barrière du cuir chevelu.
L’extrait de céleri contrôle également le microbiome du cuir chevelu. En régulant la prolifération de certaines de ses bactéries, que l’on pourrait traiter de « mauvaises », comme les Malassezia, il stabilise l’écosystème du cuir chevelu.
En associant ces actifs naturels à d’autres agents, un shampoing antipelliculaire peut offrir une action purifiante durable et donc limiter le risque de récidive. En effet, il permet de ramener le renouvellement cellulaire à un rythme normal et ainsi de rendre l’élimination des cellules mortes invisible. Le résultat est évident : le cuir chevelu est assaini et les cheveux retrouvent douceur et brillance.
C’est à la seule condition d’agir sur le long terme qu’un soin peut revendiquer la réelle efficacité antipelliculaire de ses actifs.