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Lorsqu'une chute de cheveux importante apparaît de manière brutale, il s'agit bien souvent d'une chute de cheveux réactionnelle.
Contrairement à une alopécie androgénétique, qui a des origines héréditaires, la chute de cheveux réactionnelle, comme son nom l'indique, se produit en réaction face à un événement extérieur. Il peut s'agir du stress, d’une grossesse, de l’allaitement, d’un changement de saison, de la fatigue, d'une maladie, d'une carence notamment en fer…
La perte de cheveux apparaît de manière générale 2 à 3 mois après l'événement.
Ce type de chute de cheveux peut toucher la totalité du crâne et est plus répandu chez les femmes.
On distingue trois causes principales à la chute de cheveux réactionnelle.
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Le stress, une grosse fatigue, un choc émotionnel peuvent entraîner des réactions en chaîne dans l'organisme, dont une perte de cheveux. Ils ont un impact au niveau cellulaire et sur les follicules pileux. Ils ont des effets délétères sur le cuir chevelu et peuvent altérer la pousse du cheveu.
La perte de cheveux après une grossesse est assez fréquente chez la femme.
Quelques mois après leur accouchement, cet événement tant physiologique qu'émotionnel, un certain nombre de femmes remarquent qu'elles perdent facilement plus de 100 cheveux par jour, ce qui leur paraît anormal. Cette chute de cheveux chez la femme peut être due au bouleversement hormonal causé par la grossesse, notamment en raison d’un déséquilibre en hormones mâles.
Les liens entre perte de cheveux et maladie sont multiples.
La perte de cheveux peut avoir elle-même des origines pathologiques, comme dans le cas de l’alopécie androgénétique.
Elle peut également être la conséquence d’un effet secondaire de la prise d’un traitement prescrit pour lutter contre une maladie, ou d’une chimiothérapie.
Pas de panique, vous n’êtes pas la seule à perdre vos cheveux suite au COVID. Le Covid nous a tous pris par surprise et ses conséquences, directes ou indirectes, n’ont pas fini de nous étonner.
La chute de cheveux réactionnelle, connue également sous le nom d’effluvium télogène, correspond à une entrée prématurée d'un nombre important de follicules pileux dans leur phase de chute. Cette troisième et dernière phase du cycle de vie du cheveu est aussi appelée la phase télogène.
La chute de cheveux réactionnelle est un phénomène passager.
Pour traiter ce type de chute, il faut réactiver rapidement la croissance des cheveux en initiant un nouveau cycle pilaire et freiner la chute de cheveux.
Différents événements peuvent causer une grosse perte de cheveux :
Que ce soient le stress, la fatigue, la maladie, une grossesse, des carences…, tous ces facteurs engendrent des effets délétères sur la vie du cheveu et peuvent entraîner sa chute.
On dénombre 3 causes physiologiques principales.
Le rôle des facteurs de croissance responsables du développement de la vascularisation de la papille folliculaire est primordial dans la régulation de la croissance du cheveu.
Une mauvaise vascularisation du cuir chevelu peut entraîner un déficit en apport de nutriments aux bulbes pileux. Or, ces éléments sont essentiels à la croissance du cheveu. Leur déficience peut donc déclencher la perte de cheveux.
Il faut donc assurer une bonne micro-circulation au niveau du cuir chevelu pour favoriser l’apport de ces éléments.
Légende 1 . BULBE SAIN
2 . MAUVAISR VASCULARISATION : déficience de la micro-circulation
Nous avons vu que la micro-circulation véhicule des apports essentiels au bulbe pileux.
La circulation sanguine peut être très bonne, faut-il encore qu'elle ait des éléments de croissance à transporter jusqu'au bulbe pileux !
Il va sans dire qu'une carence en éléments nutritifs, énergétiques et en oligoéléments rend plus difficile la croissance de cheveux sains. Leur déficience entraîne donc l'entrée prématurée des cheveux en phase télogène.
Un apport adapté en éléments essentiels au cheveu est alors indispensable. On pourra, par exemple, faire appel à des compléments alimentaires pour supplémenter en acides aminés, en vitamines…
Légende 1 . BULBE SAIN
2 . MAUVAISE NUTRITION : diminution de l’apport en éléments nutritifs et énergétiques
Le stress psychologique, physique ou un dérèglement de l'organisme va générer un déséquilibre qui se traduit par un stress au niveau cellulaire.
Ces cellules du cuir chevelu ainsi soumises à ce stress vont libérer des neuromédiateurs, dont la substance P. Ils vont alors déclencher une cascade inflammatoire aiguë.
Un médiateur de l'inflammation, le TNF-a, est libéré. Il a pour effet d'inhiber le cycle pilaire : les cheveux passent alors brutalement et prématurément en phase télogène.
Cela déclenche une chute de cheveux soudaine et brutale.
Légende 1 . BULBE SAIN
2 . INFLAMMATION : le stress cellulaire libère des molécules, déclenchant une chute prématurée
Comme nous venons de le voir, la perte de cheveux réactionnelle possède 3 causes physiologiques sous-jacentes.
Il peut être difficile d'identifier laquelle d'entre elles est la principale responsable. Impossible de déterminer de plus si elle agit seule ou combinée aux autres facteurs.
Pour freiner la chute de cheveux réactionnelle et obtenir un résultat visible, il est donc préférable de s'attaquer à ces 3 causes de manière simultanée.
Pour ce type de chute, il est inutile bien entendu d'envisager la greffe de cheveux. Aujourd’hui, il existe des soins anti-chute à base d’actifs naturels qui sont efficaces et très bien tolérés.
Masser le cuir chevelu peut-être très efficace pour accroître les effets d'un soin anti-chute. Ces gestuelles spécifiques ne doivent pas être négligées.
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